Accéder au contenu principal

A réécouter en postcast : mon interview sur Radio Fidélité

Radio Fidélité, c'est une radio locale qui émet notamment à Nantes, Pornic et Châteaubriant. L'entrée du bâtiment est très discrète, cachée derrière une porte cochère. J'ai eu la bonne surprise de découvrir une véritable bibliothèque dans les murs de la radio. Bref, j'étais chez moi :)

J'ai accepté avec grand plaisir l'invitation de Myriam. Elle savait que j'avais publié un Guide des éditeurs de fiction en 2015, dans le cadre de mes activités au sein de l'association Le Cercle des écritures de Nantes. Comme nous avions beaucoup parlé d'autoédition pour préparer l'émission, je pensais que l'entretien allait tourner autour de cette question, mais l'entretien, très varié, a été l'occasion de parler de mon recueil Les Temps maudits, de l'évolution de ma relation aux lecteurs, ainsi que de l'association des Romanciers nantais, dont je suis également membre (je fais même partie du CA depuis peu).

L'émission a été diffusée le jour de la Saint-Valentin, le 14 février 2018. Il n'y a pas de hasard...

A réécouter en Postcast si le cœur vous en dit !)





Myriam m'avait demandé pour l'interview deux morceaux pour les coupures musicales. Vous aurez donc l'occasion d'écouter J'ai mis les mots de Grand Corps Malade et Holding On de Gregory Porter.

N'hésitez pas à augmenter le son :)


Commentaires

  1. Deux chansons... et aucune de Depeche Mode ! Une sacrée (r)évolution !?

    Christophe

    RépondreSupprimer

Enregistrer un commentaire

Posts les plus consultés de ce blog

Liste (de Noël) de mes publications !

Noël, c'est la saison des listes, alors je me suis dit, comme ça, et si je faisais (enfin) la liste de mes textes littéraires publiés, sous mes différents pseudonymes ? Peut-être, je dis bien peut-être, pourrait-elle coïncider (ce serait vraiment un pur hasard !) avec votre liste de cadeaux ? 😇 Je n'ai pas la chance de connaître personnellement le Père Noël (même si je l'ai croisé plusieurs fois), mais quelque chose me dit que si vous lui demandez très gentiment, et que vous prévenez votre famille de votre intention de vous procurer l'intégrale de Danny Mienski, oui, c'est possible, votre rêve peut se réaliser ! Vous pourriez même, en m'envoyant un petit message avant le réveillon, recevoir une dédicace à glisser dans l'un des livres 😎 La plupart de ces textes ont été publiés sous le nom de Danny Mienski : LITTERATURE BLANCHE (ou générale, contemporaine...) « Petit Martin » (sous pseudonyme), paru dans le recueil  J’ai fait un rêve  à l’occasion du 50e ann...

Retour sur l'atelier spécial science-fiction de Guérande

C'est à l'occasion du festival des science-fiction les Mycéliades que la médiathèque de Guérande m'a contacté. J'étais déjà intervenu deux fois par le passé et la nouvelle responsable, qui avait reçu de bons échos des ateliers, attendait de me voir à l'œuvre 😏. En tant qu'auteur des littératures de l'imaginaire, la science-fiction est un genre que j'affectionne, même si "le genre" est plus large que cela et peut englober également la fantasy, le fantastique, le steampunk, le dark romance, etc. L'atelier a été l'occasion de parler de la science-fiction (dans laquelle nous vivons déjà, avec le téléphone portable, l'intelligence artificielle, la découverte d'exoplanètes...) mais surtout d'écrire des histoires, de plus en plus longues, jusqu'à inventer à plusieurs un scénario de film de SF. J'ai aussi eu le plaisir de retrouver Hélène, une ancienne participantes de nos ateliers d'écriture à Guérande, qui en profité ...

Pour écrire, il me faut un plan

Pour écrire, il me faut un plan. Un squelette. Une espèce de filet tendu entre deux moments de l'histoire. Le début et la fin. Mais le début de l'histoire n'est pas nécessairement le début dans la chronologie. la fin n'est pas la fin de tout, le héros ne meurt pas obligatoirement, le monde ne s'effondre pas. Il y a même des fins ouvertes à d'autres possibles. Mais en attendant l'histoire est terminée, l'intrigue, le sujet initial a été développé jusqu'à ses ultimes conséquences, le démon de Maxwell est content. Tout est rentré dans l'ordre, non pas "tout finit bien", mais tout est à présent ordonné, à sa place. Tout est clair, lisible : le puzzle est terminé. Le héros peut pleurer ou se réjouir. La vérité qui vaut à la page 305 du roman est donnée comme la déclaration finale, la vérité ultime sur ce qui est conté, le secret des secrets. Imaginez une histoire qui commence par la révélation d'un secret. Il faudra bien évidemment montr...