Le festival Polarlens 2015 est terminé, je devrais recevoir mes exemplaires personnels du recueil sous peu...
Comme je le disais dans le précédent post, j'avais été sélectionné (8 lauréats sur 51 candidats) pour écriture la suite d'un texte écrit par un écrivain confirmé. Le secret était jalousement gardé jusqu'au jour du festival. J'ai découvert "le mien" par hasard, quelques jours auparavant. Un des auteurs présents à Polarlens, Philippe Masselot, avait répondu à une interview où il expliquait le principe du concours d'écriture. Il révélait le début qu'il avait imaginé. J'ai alors compris qu'il s'agissait de mon co-auteur ! Joie !
Mais qui est donc Philippe Masselot ?
D'après notre ami Goggle qui sait tout et qui voit tout, Philippe Masselot est un auteur du chnord, professeur d'anglais mais écrivant probablement en français. J'ai fait une descente dans les librairies fnac, espaces culturels, pour en connaître plus sur ses publications (il a quand même une dizaine d'ouvrages à son actif !). Mais mais mais, je ne le vois pas dans les rayons. Les librairies de la côte ouest bouderaient-elles les auteurs nordistes, alors qu'on y trouve des livres sudéois rangés dans des étagères ikea ?
Pas de souci, je commande, je reçois et je lis. Après une hésitation avec Septentrion Blues, je choisis Mistral Gayant, à la fois pour les géants de Douai (qui me rappellent les géants de Grandville) et, je l'avoue, pour la couverture colorée. Que celui qui n'a jamais craqué pour l'illustration de couverture me jette la première pierre ! D'autant que la dame est jolie...
J'ai commencé à lire ce "polar du nord". On peut dire que ça commence fort ! Un accident de voiture, quelqu'un a percuté quelque chose sur la route, un chevreuil probablement, non, un être humain. Un accident ? Non plus. La victime a été jetée d'un pont à moitié morte, les pieds et les poignets entravés... L'enquête commence.
Le recueil Polarlens 2015 a été distribué le jour du festival, il contient la nouvelle "Et la tendresse...", écrite par Philippe Masselot et Danny Mienski.
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